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Metal

LES APÉROS METAL #18 : THE PRESTIGE

Apéro metal avec de la musique intelligente de prestige

Nés en février 2018 d’une volonté de réunir les amateurs de gros son autour d’un verre, inspiré par la communauté du forum Metal 77, les apéros Metal du 77 ont vite été confrontés à l’absence de bars rock dans le département. L’idée d’un rendez-vous récurent a germée, moins contraignant que l’ouverture d’un troquet.

Les apéros ont d’abord colonisé l’Abreuvoir, puis le Doctor Beer à Melun, avant d’être recueillis par le Chaudron du Mée sur Seine pendant de belles années, où il se sont étoffés pour proposer en plus des jam sessions, des releases partys d’albums et de clips, des projections de films Metal et des dégustations de bières locales.

Aujourd’hui un nouveau chapitre s’ouvre pour le projet, qui a posé ses valises à l’Empreinte depuis début 2023 pour vous proposer toujours plus de contenu, en gardant en tête un seul objectif : vous réunir pour l’apéro en faisant vivre notre musique !

ENTREE LIBRE

THE PRESTIGE

Nous sommes The Prestige, de Paris, France.

Paris a toujours été associée aux clichés de l’amour romantique et des lumières scintillantes sur la Seine, mais ceux qui ont passé du temps dans la capitale française pourraient dresser un portrait bien différent de la Ville Lumière. Des rues sales et l’odeur entêtante d’urine dans les couloirs du métro sont le véritable visage de Paris, et c’est dans ce contexte que The Prestige a trouvé son inspiration pour écrire son deuxième album, Amer.
« Paris est la ville où nous sommes nés et avons grandi. Nous aimons autant notre ville que nous la détestons. Elle est naturellement devenue le décor de ce nouvel album », explique Alex Diaz, chanteur et guitariste.

Amer dévoile une nouvelle facette du quatuor parisien et repousse encore plus loin les limites posées par leur premier album acclamé par la critique, Black Mouths. Plus sombre et plus lourd, ce nouvel opus est animé par une amertume brute. Mais l’amertume n’est ni la colère, ni la haine, ni une révolution. L’amertume est le fruit pourri des souvenirs hantés et de l’innocence avortée. C’est une frustration familière et une violence latente à laquelle on s’habitue. C’est une rage apprivoisée. Ce sont des espoirs dorés qui ne brillent plus. C’est le murmure d’une jeunesse désillusionnée, qui a grandi trop vite et qui lutte pour exploser.

« Un album est une photographie d’un groupe à un moment donné », ajoute le guitariste Raphael Jassin, « et l’amertume est à la fois l’état d’esprit et le paysage de nos vies personnelles aujourd’hui ». Ce nouvel album déborde de passion et est imprégné de mélodies sombres et intimes qui reflètent la relation profonde du groupe avec ses morceaux. Fidèles aux choix sans compromis qui les caractérisent depuis leurs débuts, ils ont décidé de s’isoler pour enregistrer Amer en 6 jours pluvieux de décembre à Laval (France), avec le producteur de renommée internationale Amaury Sauvé (Birds in Row, As We Draw, Comity…). Ce choix visait à capturer l’agressivité alimentée par l’adrénaline du groupe, ses climax émotionnels et ses mélodies envoûtantes.

« Amaury était le cinquième membre pendant les sessions », explique Julien Bouladoux, « il a été aussi important que chacun d’entre nous durant l’enregistrement et nous a poussés à donner tout ce que nous avions pour les quelques prises de chaque chanson ». Pour magnifier les choix artistiques réalisés durant l’enregistrement, ils ont confié le mastering de Amer au légendaire producteur Bob Weston (David Bowie, Nirvana, Shannon Wright, Shellac, Om, Ceremony…).

Les membres de The Prestige affichent fièrement leur passion. « Ce groupe n’est pas simplement un hobby musical pour le week-end. Ce groupe est notre déclaration », résume le batteur Thibaut Cavelier. Ces dernières années, ils ont transporté leurs shows passionnés à travers l’Europe et le Royaume-Uni, en première partie de groupes comme The Dillinger Escape Plan, Every Time I Die, Stray From the Path, August Burns Red, The Secret, Hierophant, Raein, Liferuiner, Goodtime Boys. Et pour nourrir davantage leur passion, ils ont décidé de porter leur musique jusqu’à Cuba, où ils ont joué 8 concerts devant des foules incroyables de 1000 personnes à La Havane. Ils ont encapsulé ce voyage bouleversant dans leur documentaire Dark Was The Night, réalisé et filmé par Berzerker, qui sera diffusé en septembre sur la nouvelle plateforme créative de Ben Weinman (The Dillinger Escape Plan), Party Smasher Inc.

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