Capote 2 Verre : buvez couvert, la protection pour vos boissons anti-drogue et anti-renversement

« Mes précédentes expériences professionnelles étaient en alternance, puisque j’étais étudiant au moment de la création de ma société. J’ai fait deux masters en alternance, donc 4 ans en tout, dans des entreprises de la défense et de l’aérospatial, à savoir Safran et Thalès. L’entrepreneuriat m’a toujours trotté dans la tête et pendant mes études, j’ai vu arriver cette problématique de la soumission chimique avec de la drogue déposée dans un verre. Elle m’a d’autant plus concernée que c’est arrivé à des amies. J’ai alors prospecté afin de proposer des solutions en ligne, sur un site Internet dédié, dès janvier 2022. Mais je n’étais pas satisfait des produits proposés. J’ai donc créé ce que j’aurais aimé trouver ! J’ai « designé » mon propre produit avec les bonnes dimensions, les bons matériaux et les propriétés que je voulais lui donner. Après plusieurs essais, je suis arrivé au produit actuel. »

« C’est un capuchon en silicone réutilisable qui s’adapte à tous les verres. Il est personnalisable et cet aspect est important à prendre en compte. Car nous visons surtout les organisateurs d’événements pour qu’ils puissent distribuer notre produit dans les fêtes étudiantes, festivals, boites de nuit, férias… C’est cela qui les intéresse. Ils peuvent à la fois envoyer un message de prévention et de protection, mais ils peuvent aussi faire de la communication sur les capotes et les emballages. La seule problématique de la soumission chimique n’aurait pas séduit les entreprises. Ce qui a fait le succès de Capote 2 Verre, c’est bien de pouvoir personnaliser le produit à l’effigie (logo, couleur, QR code…) de la société ou de l’organisation qui souhaite protéger son public, tout en passant un message de communication sur lequel les utilisateurs viennent littéralement coller leur visage. C’est une fenêtre publicitaire vraiment inratable ! »

« En nous proposant des locaux à prix accessibles. J’étais en études jusqu’au mois de septembre et je gérais tout ça depuis ma chambre, qui s’était transformée en entrepôt. Mes parents devenaient fous ! Pour tout vous dire, l’été dernier, j’étais dans la position de devoir choisir entre un CDI chez Thalès ou cette aventure qui commençait à marcher. J’avais des journées très difficiles entre mon Master, l’entreprise et ma propre société sur laquelle je travaillais à l’heure des repas et à chaque moment de libre. J’ai rapidement collaboré avec un commercial, puis j’ai recruté un apprenti, au mois d’octobre. Pour tout le monde, il était devenu nécessaire que je trouve un local.  L’aide de Grand paris Sud est arrivée au bon moment et nous a permis de travailler dans les meilleures conditions. »