CLET
Après Paris, Lyon, Rome et Tokyo, c’est dans les rues d’Évry-Courcouronnes et Villabé que l’artiste Clet a été invité. À l’aide de son vélo et au gré de ses déambulations dans la ville, il a relooké une centaine de panneaux de signalisation sous l’œil amusé des habitants.
Avec des images simples et synthétiques, il détourne la fonction première de ces panneaux tout en respectant leur lisibilité. À l’aide de petits stickers représentant une silhouette mise en scène avec humour, il redonne vie à la signalétique urbaine. Il nous raconte ainsi des histoires pleines de sens et nous offre un regard pertinent sur notre environnement.
City Kids – JEF AEROSOL
Artiste pochoiriste né à Nantes en 1957, Jef Aérosol est l’un des pionniers de ce qu’il est aujourd’hui convenu de nommer « street art » ou « art urbain » (bien qu’il préfère le terme « art contextuel »). Il pose son empreinte pour la première fois en 1982 dans la ville de Tours : imagerie rock-pop-punk soulignée de sa marque de fabrique, une mystérieuse fl èche rouge. Depuis, ce dandy de la bombe aérosol a laissé sa marque sur les murs de multiples villes dans le monde entier : pochoirs furtifs ou grandes fresques murales. Ses personnages en noir et blanc, illustres ou anonymes, souvent peints en grandeur nature, témoignent de l’attachement de l’artiste à des valeurs humanistes profondes. La fresque qu’il réalise à Évry-Courcouronnes est l’une de ses plus grandes œuvres, résolument humaniste, elle est une véritable ôde à l’enfance : multiculturelle, solitaire, en groupe, gaie et parfois triste.
Coexist – COMBO
Réalisée après les attentats de Charlie Hebdo avec les jeunes du quartier des Aunettes sur l’un des murs du gymnase André-Thoison à Évry-Courcouronnes, cette œuvre, symbole du vivre-ensemble, est l’une des réalisations fétiches du street artist.
“Coexist”, dont les lettres sont dessinées à l’aide de symboles religieux : le croissant, l’étoile de David et la croix chrétienne. Un message de paix, de tolérance, pour le vivre-ensemble et le respect des croyances ou non-croyances de chacun.
Cette fresque a vu le jour dans le cadre de la semaine de laïcité organisée par la maison de quartier des Aunettes.
Darya – ECB
Le portrait noir et blanc d’une vieille dame, songeuse, nommée Darya, habille désormais la façade du foyer Rameau dans le quartier des Pyramides. Darya, c’est le nom de cette dame, âgée de 83 ans, originaire d’un tout petit village sibérien, situé au bord du lac Baïkal. Cette femme vient compléter une série de portraits de personnes âgées par l’artiste allemand ECB (Hendrik Beikirch) disséminées aux quatre coins du monde, de l’Inde aux Etats-Unis, en passant par l’Italie, le Danemark ou la Chine.
Earth Heaving – RNST
Artiste de street art et sérigraffichiste originaire de Dijon, RNST s’inscrit tout d’abord dans la mouvance du graffiti avant de se tourner vers le pochoir. Artiste engagé, il s’inspire des grands enjeux contemporains comme la crise climatique pour trouver son inspiration. Son travail expressif et coloré s’intègre dans des territoires que l’artiste prend soin d’étudier en amont pour toujours plus de pertinence.
En 2023, pour sa première participation au festival Wall Street Art, RNST s’empare de la façade de l’école Alain SAVARY d’Evry-Courcouronnes avec une fresque faisant échos aux enjeux climatiques. Le titre Earth Heaving, fait référence au groupe Le soulèvement de la Terre, qui milite en faveur d’une politique plus écologiste. Le dessin de la fresque s’inspire d’une photographie prise durant les grands incendies d’Australie en 2019 et 2020.
ERELL
Erell a disséminé une cinquantaine de motifs énigmatiques sur Évry-Courcouronnes. Essentiellement disséminés entre la fresque de Lek et Sowat, sur le mur de l’université Évry-Courcouronnes-Val d’Essonne et les Arènes, ces motifs géométriques jouent avec les lumières, l’architecture et le public. Son travail est issu du graffiti et du tag. Ses motifs adhésifs — les particules — sont une schématisation du tag qui, comme lui, prolifèrent et se répandent dans la rue.
Evryday I’m Huslin – LEK & SOWAT
Travaillant en binôme, Lek & Sowat parcourent les villes à la recherche de lieux abandonnés. C’est une exploration urbaine.
En août 2009, ils découvrent un supermarché abandonné représentant 40 000 m² de surface disponible. Ensemble, ils commencent à y peindre des fresques pendant plus d’un an, puis organisent une « résidence artistique sauvage » et y invitent une quarantaine de grapheurs français de tous âges. Le lieu est baptisé « Le Mausolée ».
Ils sont les premiers artistes à avoir fait entrer le graffiti dans les collections permanentes du Centre Pompidou (Paris).
Le duo d’artistes Lek & Sowat est intervenu sur le mur de l’université d’Évry-Courcouronnes en juin 2015.
Par leur passion, leur simplicité et le gout du travail bien fait, ils ont su se faire apprécier de tout le quartier et en particulier des habitants des maisons de Marianne situées en face de « leur » mur, auxquels ils rendent hommage dans les calligraphies de la fresque. La fresque d’Évry-Courcouronnes, ÉvryDay I’m Hustlin, était la dernière réalisée ensemble avant leur départ pour la résidence à la villa Médicis à Rome.
Heroïc parade – SPEEDY GRAPHITO
Œuvre du pionnier Speedy Graphito, cette fresque a nécessité 200 bombes de peintures et 350 litres de peinture acrylique. Réalisée en 17 jours, elle compte parmi les plus grandes fresques d’Europe. La réalisation de Speedy et ses 3 assistants donne ainsi vie à 1500 mètres carrés de bardage métallique, voués à la démolition. La première nuit a été entièrement consacrée au dessin des contours, grâce à la vidéoprojection sur le bâtiment, haut de plus de 16 mètres. Particulièrement reconnaissable, le « Style Graphito », fait la part belle aux comics, à Disney, aux marques publicitaires ou aux jeux vidéo.
Réalisée sur la façade extérieure des Arènes, la fresque de Speedy Graphito a disparu après la rénovation des Arènes.
L’arbre de vie – ACIDIUM PROJECT
Commande de l’AFM Téléthon, le dessin proposé par le collectif d’artistes brésiliens Acidum Project fait référence à deux êtres liés par le symbole de l’ADN, qui donnent naissance à une troisième forme centrale génératrice d’harmonie et d’équilibre. L’ensemble de symboles utilisés évoquent l’union de forces dans la recherche génétique et dans le développement de l’auto-connaissance humaine à travers l’enrichissement de la recherche ADN. Ce collectif d’artistes a ainsi su combiner couleurs, formes et poésie pour construire une atmosphère singulière à leur œuvre.
Cette fresque n’existe plus en raison d’une modification de la façade du bâtiment.
LE CYKLOP
Né au Havre en 1968, Olivier d’Hondt, alias Le Cyklop pratique un art ludique et populaire. Il est connu pour ses installations sur les potelets qui colorent la ville et dont la poésie décalée apporte une touche de fantaisie. Le potelet est un objet urbain anti-stationnement, agrémenté d’une boule blanche, disposé en bordure de rue pour empêcher les voitures de stationner. Quand Le Cyklop s’en mêle, le potelet représente un œil, habillé d’une robe colorée ou une d’une peau de lézard, qui se décline parfois sous la forme d’une tête de figurine Lego, ou bien de superhéros comme à Villabé.
Laurita – BELIN
Belin donne le ton avec son style très reconnaissable, entre cubisme et hyperréalisme. Le visage de “Laurita” dépeint un réalisme impressionnant et une technique très poussée. Quand l’illusion est au rendez-vous et joue avec les codes de la peinture et de la photographie, le tout en couleurs !
Né en 1979 à Linares en Espagne, Miguel Ángel Belinchón Bujes, alias BELIN, est connu pour son appropriation talentueuse des règles de l’hyperréalisme qu’il retranscrit librement en milieu urbain depuis 2001. Ses nombreuses fresques, réalisées au spray et sans pochoir, lui ont permis d’être référencé comme l’un des artistes les plus prometteurs issus du vaste vivier de l’art urbain.
Le vol de l’inspiration – SAITH BAUTISTA
Né en 1976 à Teziutlan au Mexique, Saith s’est initié à la peinture chez ses parents, où son père enseignait occasionnellement des techniques de dessin et de peinture.
À travers ses œuvres, il essaie de représenter une dynamique où chacun des éléments d’un tout joue un rôle central.
Invité sur la façade du théâtre du Coin des Mondes à Évry-Courcouronnes, Saith Bautista signe ici une œuvre intitulée Le vol de l’inspiration, choisie par les habitants du quartier parmi 3 maquettes, au cours d’une fête de quartier.
Les oiseaux – PANTONIO
Antonio Correia dit Pantonio est né aux Açores, sur l’île de Terceira, en 1975. À la demande de la pépinière d’entreprises le Magellan, il réalise une œuvre en quelques jours sur la façade du bâtiment. Cette œuvre, en jaune et bleu, couleurs privilégiées dans l’univers artistique de Pantonio, symbolise la nidification, en lien avec le bâtiment, lieu d’accueil de jeunes entreprises. En juin 2015, à la demande de la Ville de Paris, il réalise une fresque qui remplace les cadenas fraîchement retirés du pont des Arts.
Les registres psychiques – MONKEY BIRD & SAÏD DOKINS
Pour cette nouvelle œuvre intitulée « Les registres psychiques », les artistes du Monkey Bird Crew et l’artiste mexicain Saïd Dokins collaborent. Ils ont réalisé une œuvre sur un des murs du lycée Georges Brassens à Évry-Courcouronnes.
Ils explorent dans cette œuvre les grandes questions de l’humanité de manière dichotomique. La fresque qu’ils ont réalisée ensemble, « Les registres psychiques », se penche sur les mystères cachés dans notre tête et la manière dont ils sont interprétés à travers le temps.
La fresque « Regarder les étoiles », dernière collaboration du trio d’artistes, aborde la fascination des hommes pour l’univers, leur séduction des étoiles et la conquête de ce qui est au-delà de notre perception.
Les registres psychiques
Regarder les étoiles
Fresque réalisée sur un des murs de la maison de quartier Bois Sauvage bois guillaume à Évry-Courcouronnes
Moby Dick – FLORENCE PICARD
Le Festival Wall Street Art accueille des artistes internationaux et laisse l’expression libre à des artistes du territoire pendant l’été 2017.
1ʳᵉ création sur du mobilier urbain, Florence Picard a l’habitude de peindre de grands formats (plusieurs mètres carrés de surface). Elle propose une lecture du roman Moby Dick en travaillant ici au pochoir et au spray. En noir et blanc avec quelques petits rehauts de doré et de cuivre, pour figurer cette légendaire baleine blanche sur un côté des deux Street Box. Sur l’autre face, je peindrai un extrait de l’œuvre de Melville. Sur les côtés et au-dessus, l’océan…
Florence a choisi ces armoires fibre optique : « J’ai choisi précisément ces deux bornes, car elles se trouvent sur le boulevard de l’Yerres. C’est un endroit que je connais bien, situé entre mon travail et la salle d’escalade que je fréquente. C’est une partie de la ville lumineuse et verte, toute proche du parc des Coquibus où j’aime me promener à vélo. Une raison supplémentaire de vouloir l’investir. ».
BIM BAM
Thibaut Averty, alias Bim Bam, a réalisé une fresque à Évry-Courcouronnes. Le festival Wall Street Art laisse l’expression libre à de jeunes artistes du territoire sur des armoires de fibre optique.
Il a également réalisé une fresque à l’école élémentaire Jean Jaurès, à Villabé.
CRANIO
Cranio, artiste brésilien, signe ici sa première fresque dans l’hexagone. Elle représente l’opposition entre les traditions d’Amérique latine et les problèmes de la société actuelle. Les Indiens (en bleu) prennent vie de manière humoristique et amènent les passants à la réflexion sur la réalité du monde rural et l’aspect destructeur de la société de consommation. « Nous sommes tous des Indiens dans une grande forêt, chassant ce dont nous avons besoin pour vivre au quotidien, mais la couleur bleue de mes personnages permet une distanciation. Cela leur donne un air onirique, comme s’ils venaient d’un monde parallèle. Leur physionomie est assez proche des figures de l’artiste portugais Os Gemeos qui m’a beaucoup influencé. ».
ENORA
Artiste membre du collectif Wholestreet, Benjamin Foulny, alias Enora, s’empare d’une armoire fibre optique pour réaliser une fresque à Évry-Courcouronnes.
Il collabore notamment avec l’artiste Koye, membre également du collectif, qui lui aussi réalise une fresque sur une armoire fibre optique dans le cadre du festival Wall Street Art.
La fresque n’existe malheureusement plus aujourd’hui, les portes de l’armoire ayant été volées !
KOYE
Artiste membre du collectif Wholestreet, Koye intervient pendant l’été 2017 sur une armoire fibre optique à Évry-Courcouronnes.
LEGZ “THE SPAGHETTIST”
Né à Paris en 1974, Legz est issu de la scène graffiti parisienne des années 90. Mimant ses aînés, il explore les différentes facettes du writing avec une prédilection pour les terrains vagues, les autoroutes et les voies ferrées d’Île-de-France. Parallèlement à cette pratique traditionnelle du graffiti, il expérimente dès 1993 un style très personnel, tout en courbes, que ses amis surnomment le « style spaghetti ». Une signature abstraite qu’il peint le plus souvent en chrome et noir dans des lieux abandonnés, sauf ici sur ce transformateur électrique où Legz a joué avec la couleur, reflet des vitraux de l’école.
MONKEY BIRD CREW
Le Monkey Bird Crew (MBC) est composé de deux artistes, Temor et The Blow, originaires de Bordeaux où l’on peut voir l’essentiel de leur travail. Accueillis une première fois à Évry-Courcouronnes en octobre 2015, ils ont réalisé une quinzaine de fresques à découvrir sur l’ensemble du centre-ville d’Évry-Courcouronnes. Certaines sont bien visibles, d’autres plus cachées !
MOYOSHI
Couleurs franches, découpes graphiques, lignes noires ondoyantes, Moyoshi appose son style sur les murs de Paris à Shanghai. Autodidacte touche-à-tout, il aime brouiller les pistes, jouer avec les codes du graffiti et improviser.
Instinctif ! Son thème de prédilection ? La Nature, cette force originelle qui veille sous le béton en attendant de reprendre ses droits sur la civilisation moderne. Flirtant parfois avec l’abstrait, son style de tracé évoque tantôt un feuillage, un cours d’eau, un plumage ou une roche abrupte : des éléments organiques qui s’immiscent dans nos rues, éveillant la curiosité des passants. Le motif de l’œil revient aussi régulièrement, l’observateur d’une société en perpétuelle mutation dans laquelle l’art semble parfois être le dernier bastion de la liberté.
Il a réalisé 2 fresques sur des armoires fibre optique à Évry-Courcouronnes, pendant l’été 2017.
Fresque – 12 cours Monseigneur Roméro – Évry-Courcouronnes
Fresque – Angle boulevard du Maréchal de Lattre de Tassigny – Évry-Courcouronnes
ONEMIZER
Fresque réalisée avec les élèves du collège Galilée d’Évry-Courcouronnes dans le cadre de la classe « Art dans la ville ». Travail autour du portrait et du pochoir.
Ce que les élèves en disent : « Il a fait des travaux de tableaux abstraits avec des lettres. Il utilise aussi du PVC, matière fragile, mais qui donne un bel effet ». Cyril nous a expliqué quelques astuces pour apprendre à dessiner des portraits, comme l’astuce du quadrillage en nous donnant l’exemple du jeu de la bataille navale. Un de ses conseils : trouver son propre style dans le milieu de l’art. On a vraiment ressenti que cet artiste, Cyril, est un artiste passionné de son travail qui ne voit pas le temps passer quand il travaille, « je ne me rends même pas compte que je travaille quand je graff » dit-il.
Ensuite, nous avons réalisé avec lui une œuvre à la bombe sur bâche dehors (malgré le froid et la neige).
Ce qu’il préfère, c’est le graff, mais pour le travail de galerie (les commandes pour des clients), il réalise beaucoup de portraits de personnages qui ont marqué l’histoire. Il aime faire des œuvres avec des traits ou des coulures. ».
ROTI
Tailleur de pierre, sculpteur, tatoueur, street artiste… Roti est un artiste entier. Initié à la sculpture par ses parents, tous deux sculpteurs, il a commencé à faire du graffiti très jeune, puis a appris la taille de la pierre, pour laquelle il a développé un profond amour. Il a pu se perfectionner grâce à l’apprentissage, en s’intéressant à la sculpture classique et en travaillant notamment l’ornementation et les gargouilles. Roti en est ensuite arrivé à faire de la statuaire. Il aime travailler le marbre, donner vie à quelque chose d’inerte.
Cet autodidacte a séjourné 6 jours à Évry-Courcouronnes pour réaliser une fresque de 33 mètres de long dans le cadre du Festival Street Art. Située rue Stephenson, cette fresque accueille les voyageurs à leur sortie de la gare Évry-Courcouronnes.
L’image est esthétique, mais son but n’est pas de faire des choses mignonnes : « Je suis là pour être sincère avec moi-même et exprimer ce que je ressens. Cette fresque peut paraître douce : c’est l’histoire du corbeau et du renard, mais le Renard écrit avec une plume du Corbeau dans un environnement urbain omniprésent. Il y a beaucoup de symboles, plus ou moins cachés, mais c’est à chacun de les découvrir, de leur donner le sens de sa propre histoire. ».
STeW
Sur la façade de l’école Van Gogh, composée de la devise républicaine « liberté, égalité, fraternité » et du drapeau français, l’artiste a choisi de dessiner une œuvre en bleu-blanc-rouge. Il y a davantage de bleu, car cette couleur lui tient à cœur, « c’est la couleur du ciel et de la mer, donc de la liberté ». Le style de STeW est reconnaissable : un dessin tout en finesse, des couleurs pastel, une inspiration japonaise.
Dessiner un oiseau qui prend son envol sur cette école symbolise l’apprentissage des enfants, qui peuvent ensuite voler de leurs propres ailes.
VINCENT & EIRINI
Vincent Parisot et Eirini Linardaki: un duo artistique, partenaires à la fois dans la vie et dans le travail. Ensemble, ils forment une entreprise familiale d’art. Installés à Héraklion en Crète, ils ont fait de la ville leur atelier.
Ils présentent un projet de peinture murale autour d’un dialogue entre l’architecture, la nature et les habitants pour mettre en avant l’intimité avec l’environnement. La fresque se trouve sur le parking des Arts Visuels à Évry-Courcouronnes.
Vincent a mené une résidence d’artiste en milieu scolaire sur l’année 2015-2016 auprès des structures :
- Collège Rosa Luxembourg / École primaire Jean-Baptiste Corot / Lisses
- Maison de quartier des Aunettes / Maison de quartier Bois Sauvage Bois Guillaume / École primaire Jacques Conté / Évry-Courcouronnes